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Par la fenêtre
2003
Vidéo
4’50” minutes
Cette vidéo, co-réalisation avec Djamila Daddi-addoun,
a été éloborée à partir de photographies trouvées dans la rue.
Il s’agit de la reconstitution imaginaire d'une relation
entre un père et son enfant.
Une voix accompagne les images.
La narration a été construite à partir de récits
de différentes personnes,
nous racontant un souvenir de leur père.
Vieillir ?
2003
Série de 70 photographies
10 x 15 cm
Portraits d'hommes d’un à quatre-vingt neuf ans,
qui répondent tous à une même question :
Pour vous, que signifie " vieillir " ?
Le temps qui passe ne se rattrape pas,
pourtant il s'inscrit sur le visage et dans l'esprit des hommes.
Le temps d'une photo ou le temps d'une vie.
Je tente ici, lors de la prise de vue, d’approcher la texture de la peau,
comme pour mieu voir l’empreinte visible du temps.
A propos de rien
2002 / 2003
Livre
10 x 15 cm
56 pages
Ensemble de courts textes de descriptions et de situations.
Ces textes sont issus d'une pratique quotidienne d'écriture
Issu de trois années de carnets,
ce livre reprend des créations d’images,
où dessins, notes et écrits se mêlent dans une pratique quotidienne ;
avec l’outil ordinaire de l’écriture.
Le constat, avec ou sans prise de parti, guide la lecture.
Amours d’adolescents
2002/2003
Carnet d’enquête
30 pages
Récolte de petits mots, de lettres et de dessins
provenant d'adolescents (10 à 15 ans)
Cette enquête sur l'apprentissage de l'amour est une jumelle d'observation ;
une occasion d'observer les adolescents
et leurs maladresses dans l'expression de leurs sentiments.
Ces maladresses sont étranges
car elles sont une caricature de nos pensées et actions d'adultes.
Petits souvenirs de la Villeneuve
2002
Petit livre de 12 histoires
15 x 21 cm
Le quartier de la Villeneuve a été un projet d’utopie sociale
dans les anéees 70 à Grenoble.
Il est particulièrement interressant pour les projets architecturaux
et éducatifs qui ont accompagné sa construction.
Aujourd’hui il n’en reste que son architecture biscornue.
Ces histoires parlent de la relation spéciale
entre ses habitants et de ses éléments architecturaux.
Ces courts récits de souvenirs ont avant tout été écrits pour les habitants,
dans le but de pouvoir susciter leurs propres souvenirs de ce quartier,
ainsi qu’une réflexion autour de l’évolution de ce projet de “la Villeneuve”.
Simplement posés sur les bancs publics du parc (le centre du quartier),
ils furent lus, empruntés, déchirés.
Les photographies qui accompagnent ces histoires,
prises dans les années 70 par mon père,
au moment de la construction du quartier,
nous renvoient au passé de ces lieux ;
tout comme à l’observation du voisinage de l’intime,
particulier aux quartiers populaires.
OLIVIA
2002
Vidéo
7 minutes
<< J'ai rencontré l'amour, je suis tombée dessus par hasard.
Il était là tranquille, y savait pas. Je l’ai regardé et j’ai pensé, c’est le dernier instant, c’est sa dernière heure d’homme seul, ce soir, on sera deux. >>
Partie d'un texte de Xavier Durringer, Olivia raconte une rencontre,
sur le même ton que le texte d'origine.
Le vrai et le faux se mêlent pour interroger “l'amour”
ou plus précisément la relation amoureuse.
Cette vidéo composée d’images fixes
enferme le regard sur ce qui est dit.
Cette histoire est à voir et à écouter comme si l'on était derrière une porte, l'oeil dans le trou de la serrure et les oreilles grandes ouvertes.
JARDIN DE VILLE
2001
Affiche
Impression jet d'encre, térébenthine, acrylique
3,5 x 2,5 m
Photographie prise sur le vif.
Un enfant urine au milieu d’un parc.
L’enfant grâce à son jeune âge,
profite de cette sensation de faire partie d’un tout.
Ici le contexte urbain modifie nos repères.
A quel âge commence l’intime ?
Est-ce inconsciemment que l’homme marque son territoire ?
Cette affiche, par sa taille nous plonge dans l’image,
et met le spectateur face à ces interrogations.
Le travail de couleur insiste sur la notion du marquage du territoire.
CELINE
2001
Affiche
100 x 80 cm
Photographie retouchée, une fille dort.
Cette affiche, faite pour être placée dans un lieu public,
est une fenêtre ouverte sur un espace intérieur.
Installée dans cet espace, elle peut ainsi faire surgir
des interrogations chez le regardant,
dues au contraste des deux contextes :
le monde de l’intime mis en grand format
dans la ville surchargée et bruyante.
Cette image suggère
une éventuelle histoire, fruit de notre imagination.
HUMANIMALITÉ
2000
Série de 3 photographies
50 X 65 cm
Pour cette série j'ai commencé ma recherche en m'interrogeant
sur l'habitude de considérer les cheveux a part de notre système pileux,
alors que d'un aspect biologique ce sont les même choses.
Dans la pensée commune les cheveux sont un élément de beauté
tandis que les poils sont un élément de laideur et de saleté.
Ici je photographie les poils comme s'ils étaient des cheveux,
mettant en évidence cette contradiction : la flagrance de notre animalité
et notre appartenance à ce que l'on rejette.
VOEUX
2001
Série de 20 photographies
de 13 x 19 cm
" Qu'auriez-vous aimé faire que vous n'avez jamais réalisé ? "
Sur le chemin des rues j'interroge les passants.
Des espoirs, des envies, des désirs, des regrets...
C'est tout cela que ces inconnus
acceptent d'exposer à la vue des mots.
TRACES
1999 / 2000
Série de 60 photographies
de 10 x 15cm
Ce travail est le point de départ de mon travail photographique
suite à ma pratique de la peinture, du dessin et de la sculpture.
Il s'agit de mes premières photographies, et de la transition entre ces pratiques.
Issues d'un exercice du regard, quotidiennement, dans des lieux connus,
ces images sont celles de la peinture de temps :
les craquelures, les coulées de rouilles, les murs qui s'écaillent...
Par la fenêtre
2003
Vidéo
4’50” minutes
Cette vidéo, co-réalisation avec Djamila Daddi-addoun,
a été éloborée à partir de photographies trouvées dans la rue.
Il s’agit de la reconstitution imaginaire d'une relation
entre un père et son enfant.
Une voix accompagne les images.
La narration a été construite à partir de récits
de différentes personnes,
nous racontant un souvenir de leur père.
Vieillir ?
2003
Série de 70 photographies
10 x 15 cm
Portraits d'hommes d’un à quatre-vingt neuf ans,
qui répondent tous à une même question :
Le temps qui passe ne se rattrape pas,
pourtant il s'inscrit sur le visage et dans l'esprit des hommes.
Le temps d'une photo ou le temps d'une vie.
Je tente ici, lors de la prise de vue, d’approcher la texture de la peau,
comme pour mieu voir l’empreinte visible du temps.
A propos de rien
2002 / 2003
Livre
10 x 15 cm
56 pages
Ensemble de courts textes de descriptions et de situations.
Ces textes sont issus d'une pratique quotidienne d'écriture
Issu de trois années de carnets,
ce livre reprend des créations d’images,
où dessins, notes et écrits se mêlent dans une pratique quotidienne ;
avec l’outil ordinaire de l’écriture.
Le constat, avec ou sans prise de parti, guide la lecture.
Amours d’adolescents
2002/2003
Carnet d’enquête
30 pages
Récolte de petits mots, de lettres et de dessins
provenant d'adolescents (10 à 15 ans)
Cette enquête sur l'apprentissage de l'amour est une jumelle d'observation ;
une occasion d'observer les adolescents
et leurs maladresses dans l'expression de leurs sentiments.
Ces maladresses sont étranges
car elles sont une caricature de nos pensées et actions d'adultes.
Petits souvenirs de la Villeneuve
2002
Petit livre de 12 histoires
15 x 21 cm
Le quartier de la Villeneuve a été un projet d’utopie sociale
dans les anéees 70 à Grenoble.
Il est particulièrement interressant pour les projets architecturaux
et éducatifs qui ont accompagné sa construction.
Aujourd’hui il n’en reste que son architecture biscornue.
Ces histoires parlent de la relation spéciale
entre ses habitants et de ses éléments architecturaux.
Ces courts récits de souvenirs ont avant tout été écrits pour les habitants,
dans le but de pouvoir susciter leurs propres souvenirs de ce quartier,
ainsi qu’une réflexion autour de l’évolution de ce projet de “la Villeneuve”.
Simplement posés sur les bancs publics du parc (le centre du quartier),
ils furent lus, empruntés, déchirés.
Les photographies qui accompagnent ces histoires,
prises dans les années 70 par mon père,
au moment de la construction du quartier,
nous renvoient au passé de ces lieux ;
tout comme à l’observation du voisinage de l’intime,
particulier aux quartiers populaires.
OLIVIA
2002
Vidéo
7 minutes
<< J'ai rencontré l'amour, je suis tombée dessus par hasard.
Il était là tranquille, y savait pas. Je l’ai regardé et j’ai pensé, c’est le dernier instant, c’est sa dernière heure d’homme seul, ce soir, on sera deux. >>
Partie d'un texte de Xavier Durringer, Olivia raconte une rencontre,
sur le même ton que le texte d'origine.
Le vrai et le faux se mêlent pour interroger “l'amour”
ou plus précisément la relation amoureuse.
Cette vidéo composée d’images fixes
enferme le regard sur ce qui est dit.
Cette histoire est à voir et à écouter comme si l'on était derrière une porte, l'oeil dans le trou de la serrure et les oreilles grandes ouvertes.
JARDIN DE VILLE
2001
Affiche
Impression jet d'encre, térébenthine, acrylique
3,5 x 2,5 m
Photographie prise sur le vif.
Un enfant urine au milieu d’un parc.
L’enfant grâce à son jeune âge,
profite de cette sensation de faire partie d’un tout.
Ici le contexte urbain modifie nos repères.
A quel âge commence l’intime ?
Est-ce inconsciemment que l’homme marque son territoire ?
Cette affiche, par sa taille nous plonge dans l’image,
et met le spectateur face à ces interrogations.
Le travail de couleur insiste sur la notion du marquage du territoire.
CELINE
2001
Affiche
100 x 80 cm
Photographie retouchée, une fille dort.
Cette affiche, faite pour être placée dans un lieu public,
est une fenêtre ouverte sur un espace intérieur.
Installée dans cet espace, elle peut ainsi faire surgir
des interrogations chez le regardant,
dues au contraste des deux contextes :
le monde de l’intime mis en grand format
dans la ville surchargée et bruyante.
Cette image suggère
une éventuelle histoire, fruit de notre imagination.
HUMANIMALITÉ
2000
Série de 3 photographies
50 X 65 cm
Pour cette série j'ai commencé ma recherche en m'interrogeant
sur l'habitude de considérer les cheveux a part de notre système pileux,
alors que d'un aspect biologique ce sont les même choses.
Dans la pensée commune les cheveux sont un élément de beauté
tandis que les poils sont un élément de laideur et de saleté.
Ici je photographie les poils comme s'ils étaient des cheveux,
mettant en évidence cette contradiction : la flagrance de notre animalité
et notre appartenance à ce que l'on rejette.
VOEUX
2001
Série de 20 photographies
de 13 x 19 cm
" Qu'auriez-vous aimé faire que vous n'avez jamais réalisé ? "
Sur le chemin des rues j'interroge les passants.
Des espoirs, des envies, des désirs, des regrets...
C'est tout cela que ces inconnus
acceptent d'exposer à la vue des mots.
TRACES
1999 / 2000
Série de 60 photographies
de 10 x 15cm
Ce travail est le point de départ de mon travail photographique
suite à ma pratique de la peinture, du dessin et de la sculpture.
Il s'agit de mes premières photographies, et de la transition entre ces pratiques.
Issues d'un exercice du regard, quotidiennement, dans des lieux connus,
ces images sont celles de la peinture de temps :
les craquelures, les coulées de rouilles, les murs qui s'écaillent...